Membre de la FF2P, j’adhère à la Charte déontologique de la Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse.
Je ne divulgue rien de ce que mes clients me disent de ce que je vois ou comprends de mes clients. Cette règle est primordiale. Elle a pourtant deux limites : mes échanges avec mon superviseur (qui ne connaitra jamais l’identité de mes clients que par leur prénom) et l’application de la loi (cas judiciaires).
Dans le cas de la thérapie du couple, je ne reçois pas une moitié d’un couple séparément de l’autre ; toutes les séances se font en présence du couple. Toutes les informations sont par conséquent partagées au sein du couple qui travaille avec moi. Ces informations ne sont jamais divulguées en dehors du cabinet, à l’exception de ce qui est du ressort de la loi.
Pour accompagner une personne ou un couple pleinement, je m’interdis de recevoir tout membre de sa famille ou de son cercle proche.
Je ne peux recevoir pour une thérapie du couple une personne que je reçois déjà en psychothérapie individuelle et réciproquement.
En application des bonnes pratiques de la profession et en conformité avec la Charte, tout mon travail en psychothérapie individuelle et en thérapie du couple est supervisé. C’est bien sûr mon travail qui est supervisé et non pas mes clients. Le superviseur, lui-même psychothérapeute expérimenté et formé spécifiquement à l’accompagnement des praticiens de la psychothérapie, a pour responsabilité de s’assurer que son supervisé (moi !) travaille de façon éthique et dans la limite de sa compétence. La supervision a pour but premier la protection du client.
Autre obligation professionnelle, je suis chaque année des formations théoriques et pratiques pour affiner mes compétences et rester informée des dernières recherches cliniques.
Selon la Charte, les praticiens de la psychothérapie ne doivent pas publier dans leurs déclarations publiques, incluant la communication sur internet, le témoignage d’un client sur la qualité des produits ou des services d’un praticien de la psychothérapie.